lundi 23 novembre 2009
lundi 9 novembre 2009
Les couleurs de l'automne III
samedi 3 octobre 2009
samedi 26 septembre 2009
mercredi 9 septembre 2009
Le départ pour certains, la rentrée pour d'autres...
samedi 13 juin 2009
Les panorpes sont de sortie !
Il y en a partout ! Nous n'en avions jamais observé autant !
Cet insecte est superbe ! On l'appelle également Mouche Scorpion (Panorpa communis).
Voici un mâle, reconnaissable à son abdomen recourbé vers l'avant (comme les scorpions) :
Voici une femelle :
Les panorpes se nourrissent de fruits ou d'animaux morts.
Ici, nous l'avons surpris sur un cadavre de vipère péliade (Vipera berus) :
On distingue bien la tête étirée de la panorpe, en forme de bec.
Cet insecte est superbe ! On l'appelle également Mouche Scorpion (Panorpa communis).
Voici un mâle, reconnaissable à son abdomen recourbé vers l'avant (comme les scorpions) :
Voici une femelle :
Les panorpes se nourrissent de fruits ou d'animaux morts.
Ici, nous l'avons surpris sur un cadavre de vipère péliade (Vipera berus) :
On distingue bien la tête étirée de la panorpe, en forme de bec.
jeudi 11 juin 2009
Allô ! Le Lérot ?
Je peux vous assurer que tout va bien, votre arbre n'est pas malade !
...
Mais non, mais non, je vous l'assure ! Il s'agit d'un Bouleau verruqueux, voilà tout !
...
Bien sûr !
Comme tous les petits CPNs, je sais parfaitement que les bouleaux ont une écorce blanche !
Mais sachez, mon jeune ami, qu'avant de revêtir son écorce blanche si caractéristique, le jeune bouleau verruqueux se pare d'une écorce brun-rouge comme celle du cerisier, devenant blanc rosâtre couverte de bandes horizontales gris pâle puis blanche, souvent profondément fissurée à la base.
...
De rien, de rien... Et longue vie à votre arbre !
...
Mais non, mais non, je vous l'assure ! Il s'agit d'un Bouleau verruqueux, voilà tout !
...
Bien sûr !
Comme tous les petits CPNs, je sais parfaitement que les bouleaux ont une écorce blanche !
Mais sachez, mon jeune ami, qu'avant de revêtir son écorce blanche si caractéristique, le jeune bouleau verruqueux se pare d'une écorce brun-rouge comme celle du cerisier, devenant blanc rosâtre couverte de bandes horizontales gris pâle puis blanche, souvent profondément fissurée à la base.
...
De rien, de rien... Et longue vie à votre arbre !
jeudi 4 juin 2009
Allô, la FCPN ?
Je voudrais parler au Docteur Dendro, s'il vous plaît !
...
Allo, Docteur ? Venez vite ! Notre arbre est malade !
...
Quels sont les symptômes ? Son tronc est recouvert de petits points blancs !
...
A part ça ? Rien ! Il a l'air en forme !
...
Oui, oui ! Il est tout jeune ! Il a deux ou trois ans, tout au plus !
Nous l'avons planté à l'occasion du lancement de la campagne "Aux arbres citoyens !" de la FCPN !
...
D'accord ! Je vous envoie une photographie !
C'est grave, Docteur ?
...
S'il vous plait, Docteur, faites-vite, nous sommes tellement inquiets...
S'il y a parmi vous, lecteurs, une personne susceptible d'aider l'arbre du Club CPN Le Lérot (avant le diagnostic du Docteur Dendro), qu'elle n'hésite pas à déposer un message ci-après.
[Vous pouvez cliquer sur la photo pour la voir en grand]
Merci d'avance !
Plus d'informations sur la campagne de la FCPN : http://www.fcpn.org/actualites/auxarbrescitoyens/#1
...
Allo, Docteur ? Venez vite ! Notre arbre est malade !
...
Quels sont les symptômes ? Son tronc est recouvert de petits points blancs !
...
A part ça ? Rien ! Il a l'air en forme !
...
Oui, oui ! Il est tout jeune ! Il a deux ou trois ans, tout au plus !
Nous l'avons planté à l'occasion du lancement de la campagne "Aux arbres citoyens !" de la FCPN !
...
D'accord ! Je vous envoie une photographie !
C'est grave, Docteur ?
...
S'il vous plait, Docteur, faites-vite, nous sommes tellement inquiets...
S'il y a parmi vous, lecteurs, une personne susceptible d'aider l'arbre du Club CPN Le Lérot (avant le diagnostic du Docteur Dendro), qu'elle n'hésite pas à déposer un message ci-après.
[Vous pouvez cliquer sur la photo pour la voir en grand]
Merci d'avance !
Plus d'informations sur la campagne de la FCPN : http://www.fcpn.org/actualites/auxarbrescitoyens/#1
lundi 18 mai 2009
Une journée mémorable !
Samedi 16 mai 2009 - Le club CPN Le Lérot a rendu visite à :
"Altaïr", c'est le nom du club CPN de Vazeilles-Limandre, autre Club auvergnat de la Haute-Loire.
Nous avons fait connaissance avec Marie, Déborah, Marilou, Alexis, Jade, William, Lison, Julie (ici photographiés à califourchon sur une défense de mammouth : un club qui ne recule devant rien !) et Virginie, leur animatrice.
"Les enfants d'Altaïr" (ça sonne drôlement bien !) nous ont fait visiter leur petit coin nature, à l'occasion d'une balade à la découverte des insectes.
Nous avons sillonné les prés, les chemins, les bois, suivi un ruisseau, goûté devant leur cabane au fond des bois... nous avons même fait connaissance avec un mammouth !!!
Petit reportage photos :
Et nous avons observé plein d'insectes, bien sûr :
Euh !! Non ! Je crois que j'ai fait une erreur, là, je recommence :
Et nous avons observé plein d'insectes, bien sûr !
Puis, nous nous sommes tous rassemblés au local d'Altaïr (parents et enfants), pour trinquer en l'honneur du premier anniversaire du club !
A bientôt, pour de prochaines aventures CPN...
"Altaïr", c'est le nom du club CPN de Vazeilles-Limandre, autre Club auvergnat de la Haute-Loire.
Nous avons fait connaissance avec Marie, Déborah, Marilou, Alexis, Jade, William, Lison, Julie (ici photographiés à califourchon sur une défense de mammouth : un club qui ne recule devant rien !) et Virginie, leur animatrice.
"Les enfants d'Altaïr" (ça sonne drôlement bien !) nous ont fait visiter leur petit coin nature, à l'occasion d'une balade à la découverte des insectes.
Nous avons sillonné les prés, les chemins, les bois, suivi un ruisseau, goûté devant leur cabane au fond des bois... nous avons même fait connaissance avec un mammouth !!!
Une journée mémorable !
Petit reportage photos :
Sur les chemins
Et nous avons observé plein d'insectes, bien sûr :
Euh !! Non ! Je crois que j'ai fait une erreur, là, je recommence :
Et nous avons observé plein d'insectes, bien sûr !
Puis, nous nous sommes tous rassemblés au local d'Altaïr (parents et enfants), pour trinquer en l'honneur du premier anniversaire du club !
BON ANNIVERSAIRE, ALTAÏR !
A bientôt, pour de prochaines aventures CPN...
samedi 2 mai 2009
Devinette
Tout comme le sapin, le pin ou l'épicéa, je suis un résineux.
Contrairement au sapin, au pin ou à l'épicéa, je perds toutes mes aiguilles chaque année.
Jugez plutôt :
Qui suis-je ?
Réponse donnée par Danielle, le 15 mai : le mélèze !
Bravo à Danielle, qui a trouvé la bonne réponse, et merci d'avoir participer !
Contrairement au sapin, au pin ou à l'épicéa, je perds toutes mes aiguilles chaque année.
Jugez plutôt :
Qui suis-je ?
Réponse donnée par Danielle, le 15 mai : le mélèze !
Bravo à Danielle, qui a trouvé la bonne réponse, et merci d'avoir participer !
mardi 28 avril 2009
La cuisine aux orties (2)
Des crèpes aux orties, un vrai délice !
Ici, des galettes à la farine de sarrazin dans lesquelles j'ai incorporé des orties séchées, réduites en poudre.
Sucrées ou salées... à votre gré !
Ici, des galettes à la farine de sarrazin dans lesquelles j'ai incorporé des orties séchées, réduites en poudre.
Sucrées ou salées... à votre gré !
lundi 27 avril 2009
La cuisine aux orties (1)
2 recettes simples à réaliser :
La soupe à l'ortie
La tourte à l'ortie
Un grand classique ! Des orties + des pommes de terre.
On peut ajouter, selon les goûts, oignons, crème fraîche, croûtons, parmesan, fromage de chèvre... Laisser aller son imagination...
On peut ajouter, selon les goûts, oignons, crème fraîche, croûtons, parmesan, fromage de chèvre... Laisser aller son imagination...
La tourte à l'ortie
Je la fais avec de la pâte feuilletée, mais elle est tout aussi bonne avec d'autres types de pâtes.
Pour la garniture, des orties (qsp que vos convives soient contents), et une béchamel à votre façon assaisonnée de poivre, de noix de muscade, de fromage...
N'oubliez pas de badigeonner la pâte de jaune d'oeuf, votre tourte n'en sera que plus belle !
Bon appétit !
Pour la garniture, des orties (qsp que vos convives soient contents), et une béchamel à votre façon assaisonnée de poivre, de noix de muscade, de fromage...
N'oubliez pas de badigeonner la pâte de jaune d'oeuf, votre tourte n'en sera que plus belle !
Bon appétit !
dimanche 19 avril 2009
Qui s'y frotte s'y pique !
Manger des orties, quelle drôle d'idée !
Et pourtant, en cuisine, l'ortie titille les papilles sans les piquer, parfume les plats avec douceur, se marie avec autant de bonheur en sucré ou en salé... bref une aubaine pour les cuisiniers en herbe !
Quelques petites précautions cependant :
- Recherchez la Grande ortie (Urtica dioica), celle que tout le monde connaît, pour s'y être frotté une fois ou l'autre. Elle pique, il est vrai, aussi, je vous conseille de prendre des gants. Gare aux confusions avec les fausses orties (dans la nature aussi, il y a des imposteurs !) : l'ortie blanche, rouge ou jaune, toutes de la famille des Labiées, mais n'ayez crainte, elles sont toutes comestibles. Ne cueillez que les sommités, c'est-à-dire les jeunes feuilles terminales. Le reste d l'ortie est fibreux, on en faisait du tissu et des billets de banque !
- Si vous la récoltez dans la nature, choisissez bien votre coin : attention aux endroits qui ont été désherbés chimiquement, les bords de route, les décharges... Le plus simple est de lui réserver un petit coin dans son jardin.
- Attention, l'ortie pique ! (une vérité de La Palice) Mettez des gants et, en cas de piqûre, frottez avec une feuille de plantain ou d'oseille préalablement malaxée.
- L'ortie perdra un peu de son piquant lorsque vous la plongerez dans l'eau, et sera sans risque pour l'estomac après cuisson.
ATTENTION ! L'image qui suit peut choquer certaines personnes sensibles !
Des poils d'ortie comme vous ne les avez jamais vus !
Y'en a plein ! Tout le long de la tige, sous les feuilles ! L'ortie en est couverte !
Et pas n'importe quels poils : cela ressemble à une ampoule médicale, la pointe se brise au moindre frottement et le liquide urticant contenu dans l'ampoule est libéré ! Un mélange d'histamine, de formiate de sodium, de sérotonine, d'acétylcholine... Une arme puissante !
Et pourtant, en cuisine, l'ortie titille les papilles sans les piquer, parfume les plats avec douceur, se marie avec autant de bonheur en sucré ou en salé... bref une aubaine pour les cuisiniers en herbe !
Quelques petites précautions cependant :
- Recherchez la Grande ortie (Urtica dioica), celle que tout le monde connaît, pour s'y être frotté une fois ou l'autre. Elle pique, il est vrai, aussi, je vous conseille de prendre des gants. Gare aux confusions avec les fausses orties (dans la nature aussi, il y a des imposteurs !) : l'ortie blanche, rouge ou jaune, toutes de la famille des Labiées, mais n'ayez crainte, elles sont toutes comestibles. Ne cueillez que les sommités, c'est-à-dire les jeunes feuilles terminales. Le reste d l'ortie est fibreux, on en faisait du tissu et des billets de banque !
- Si vous la récoltez dans la nature, choisissez bien votre coin : attention aux endroits qui ont été désherbés chimiquement, les bords de route, les décharges... Le plus simple est de lui réserver un petit coin dans son jardin.
- Attention, l'ortie pique ! (une vérité de La Palice) Mettez des gants et, en cas de piqûre, frottez avec une feuille de plantain ou d'oseille préalablement malaxée.
- L'ortie perdra un peu de son piquant lorsque vous la plongerez dans l'eau, et sera sans risque pour l'estomac après cuisson.
ATTENTION ! L'image qui suit peut choquer certaines personnes sensibles !
Des poils d'ortie comme vous ne les avez jamais vus !
Y'en a plein ! Tout le long de la tige, sous les feuilles ! L'ortie en est couverte !
Et pas n'importe quels poils : cela ressemble à une ampoule médicale, la pointe se brise au moindre frottement et le liquide urticant contenu dans l'ampoule est libéré ! Un mélange d'histamine, de formiate de sodium, de sérotonine, d'acétylcholine... Une arme puissante !
vendredi 17 avril 2009
Cuisine sauvage
Avec l'arrivée du printemps, les pissenlits poussent partout : il est temps de confectionner de délicieuses empanadas... Gare au chat gourmand !
C'est une recette de chez moi, en Espagne. On y met ce que l'on veut, ce que l'on a, viande ou légume, salé ou sucré...
Ici, des empanadas salées au pissenlit, thon et œuf dur.
Voulez-vous la recette ?
mercredi 15 avril 2009
Arbres morts...
samedi 11 avril 2009
samedi 4 avril 2009
Rencontre avec le pin sylvestre
Le pin sylvestre était l'arbre le plus courant de la forêt de la Margeride. Il donnait à ces paysages un air sauvage et spontané. La couleur de son tronc, rose orangée, surprend. Il prend des formes très variées, souvent tortueuses. Son feuillage est vert, finement rayé de gris-bleu. Un très bel arbre... aujourd'hui remplacé par des pins de Douglas et des sapins dans les zones cultivées.
lundi 30 mars 2009
vendredi 27 mars 2009
Les lichens
Tout le monde connait les lichens : taches jaunes, brunes ou vertes sur un rocher ou un toit, filaments accrochés à un tronc d'arbre... ils font partie de notre quotidien.
Derrière ces êtres vivants, se cache une association bien peu banale, la symbiose entre un champignon et une algue.
lichen = champignon + algue
Pas de racine, pas de tige, pas de feuille, mais des thalles, des apothécies, des spores... tout ce qu'il faut pour permettre l'expansion de ces organismes sous tous les climats.
Les photographier est chose aisée, mais l'identification est ardue...
Derrière ces êtres vivants, se cache une association bien peu banale, la symbiose entre un champignon et une algue.
lichen = champignon + algue
Pas de racine, pas de tige, pas de feuille, mais des thalles, des apothécies, des spores... tout ce qu'il faut pour permettre l'expansion de ces organismes sous tous les climats.
Les photographier est chose aisée, mais l'identification est ardue...
mercredi 25 mars 2009
La forêt et ses trésors...
mardi 24 mars 2009
Des nouvelles de MSN*...
Julien écrit :
Lors du réveil du Lérot, je suis passé deux fois à la Mare Sans Nom et, si certaines choses sont encourageantes, d'autres ne le sont pas :
- Tous les numéros d'ateliers et le panneau qui indiquait ce que les numéros représentaient ont disparu, le niveau de la mare a baissé, la bute s'érode de plus en plus, le bel escalier de rondin est pourri et une marche est même partie, le gîte à hérissons est couvert de mousse et commence à s'effondrer, la partie la plus fragile de la digue s'effondre, le tas de pierre est quasiment enfoui...
- Cependant, il y a de bonnes choses... Une quinzaine de batraciens observés en 3 minutes sur le ponton, un rapace indéterminé de passage au-dessus, la végétation aquatique, qui est juste un petit peu trop présente, est très variée, quelques gerris...
J'ai pensé à organiser une petite équipe d'anciens du Lérot (et de nouveaux) pour aller s'en occuper mais j'ai un emploi du temps très chargé... Cependant, je vais essayer d'organiser cela. J'ai gardé contact avec certains membres du Club et j'espère qu'en fin d'année scolaire, il sera possible de réunir un maximum de personnes pour conserver la mare en bon état.
lundi 23 mars 2009
La jolie fleur du noisetier
Une observation qui date du 28 février dernier, mais qu'il me semble intéressant de partager ici :
En Auvergne, la floraison du noisetier a lieu à la fin de l'hiver et passe souvent inaperçue. Un petit bourgeon s'ouvre à peine, laissant entrevoir le style rouge vif de la fleur femelle du noisetier (ouvrez grands vos yeux, la petite fleur rouge se trouve sur la droite). Le signal est donné aux chatons mâles qui s'ouvrent délicatement, confiant au vent le soin d'y acheminer le pollen.
Rendez-vous à l'automne prochain pour une dégustation de noisettes !
En Auvergne, la floraison du noisetier a lieu à la fin de l'hiver et passe souvent inaperçue. Un petit bourgeon s'ouvre à peine, laissant entrevoir le style rouge vif de la fleur femelle du noisetier (ouvrez grands vos yeux, la petite fleur rouge se trouve sur la droite). Le signal est donné aux chatons mâles qui s'ouvrent délicatement, confiant au vent le soin d'y acheminer le pollen.
Rendez-vous à l'automne prochain pour une dégustation de noisettes !
dimanche 22 mars 2009
La nature se réveille
vendredi 20 mars 2009
Pour fêter le retour du printemps...
Les locaux du Lérot
Comme vous le savez tous, le Lérot s'est installé en Auvergne, il y a bientôt 3 ans.
Il lui a fallu patienter un peu, avant de prendre possession de ses nouveaux locaux.
C'est chose faite ! Après avoir effectué les travaux qui s'imposaient, le Lérot a trouvé refuge chez Clara et Gilles. Il partage ses activités entre un bureau/bibliothèque dans les combles de leur maison :
et prend ses quartiers d'été dans la grange... plus près de la nature :
Il lui a fallu patienter un peu, avant de prendre possession de ses nouveaux locaux.
C'est chose faite ! Après avoir effectué les travaux qui s'imposaient, le Lérot a trouvé refuge chez Clara et Gilles. Il partage ses activités entre un bureau/bibliothèque dans les combles de leur maison :
et prend ses quartiers d'été dans la grange... plus près de la nature :
jeudi 19 mars 2009
Le réveil de la petite tortue
mercredi 18 mars 2009
L'enquête progresse...
Finalement, à y regarder de plus près, il s'agit de graines de gui, recouvertes de leur enveloppe visqueuse, la viscine.
Sur la graine qui se trouve en haut, à gauche, on aperçoit encore un morceau de l'enveloppe de la baie.
Même si elles sont appréciés des grives et autres fauvettes, tout le monde sait que les baies du gui sont toxiques !
Alors, allez savoir quel animal a ingéré puis "relâché" ainsi, en paquet, les graines sur ce chemin...
Le mystère persiste...
D'autant plus qu'il n'y a pas de gui au village !
Nous poursuivons donc notre enquête... et (re)plongeons-nous tous dans la lecture des numéros 48 et 49 de "La Hulotte"... pour tout savoir sur le gui !
http://www.lahulotte.fr/
Bonjour aux Clubs CPN d'Auvergne !
Dés son réveil, le Lérot a pris contact avec les 7 autres clubs auvergnats : 2 dans le Cantal, 2 dans le Puy de Dôme et 3 dans la Haute-Loire.
Déjà, rendez-vous est pris avec le club "Altaïr" de Vazeilles-Limandre (43) et l'association Grand'Air de Vézac (15). Nous irons prochainement à leur rencontre et participerons à l'une de leurs sorties... Promis, un petit compte rendu sur ce blog très bientôt !
Déjà, rendez-vous est pris avec le club "Altaïr" de Vazeilles-Limandre (43) et l'association Grand'Air de Vézac (15). Nous irons prochainement à leur rencontre et participerons à l'une de leurs sorties... Promis, un petit compte rendu sur ce blog très bientôt !
mardi 17 mars 2009
De quoi peut-il bien s'agir ?
La première hirondelle de l'année !
- J'ai observé ma première hirondelle rustique jeudi 12 mars, à Saint Flour, ville basse. Elle survolait la rivière Ander.
Et vous ?
Clara
- Vu aussi la 1ère hirondelle rustique le 1er mars aux étangs de Hollande à Rambouillet (78)
Josiane
Et vous ?
Clara
- Vu aussi la 1ère hirondelle rustique le 1er mars aux étangs de Hollande à Rambouillet (78)
Josiane
lundi 16 mars 2009
Samedi dernier, 14 mars, s'est tenue la "8ème Nuit de la chouette". De nombreuses manifestations étaient organisées un peu partout en France... Cette année encore, et comme il le fait depuis 1995, le Lérot y a participé !
Quand on est une chouette ou un hibou et que l'on avale mulots et campagnols tout "rond", sans prendre le soin de les "décortiquer", la digestion est difficile ! La viande est assimilée par les sucs digestifs mais le reste, les poils et les os de ces petits mammifères, s'accumulent dans l'estomac en une boulette grise qui va remonter par l'œsophage pour être expulsée : c'est la pelote de réjection !
De nombreux oiseaux rejettent des pelotes.
L'étude de ces pelotes est très intéressante puisqu'elle fournit des informations sur les régimes alimentaires de ceux-ci. On y retrouve les restes de leur repas, non assimilable : chitine d'insecte, arête de poisson, os, poils, plumes...
Nous avons même retrouvé du plastique et des morceaux de verre dans des pelotes de goéland !
D'après la forme, la taille, la couleur de la pelote, le lieu où elle a été trouvée... on peut savoir, presque à coup sûr, de quel animal elle provient.
La pelote que l'on voit ici est une pelote de rapace nocturne. Elle s'est malheureusement un peu désagrégée et n'a donc plus sa forme initiale mais on note la présence de deux incisives jaunes de rongeur.
Une fois décortiquée, voici ce que nous y avons trouvé :
Des restes de campagnols ! Un festin pour la chouette !
Quand on est une chouette ou un hibou et que l'on avale mulots et campagnols tout "rond", sans prendre le soin de les "décortiquer", la digestion est difficile ! La viande est assimilée par les sucs digestifs mais le reste, les poils et les os de ces petits mammifères, s'accumulent dans l'estomac en une boulette grise qui va remonter par l'œsophage pour être expulsée : c'est la pelote de réjection !
De nombreux oiseaux rejettent des pelotes.
L'étude de ces pelotes est très intéressante puisqu'elle fournit des informations sur les régimes alimentaires de ceux-ci. On y retrouve les restes de leur repas, non assimilable : chitine d'insecte, arête de poisson, os, poils, plumes...
Nous avons même retrouvé du plastique et des morceaux de verre dans des pelotes de goéland !
D'après la forme, la taille, la couleur de la pelote, le lieu où elle a été trouvée... on peut savoir, presque à coup sûr, de quel animal elle provient.
La pelote que l'on voit ici est une pelote de rapace nocturne. Elle s'est malheureusement un peu désagrégée et n'a donc plus sa forme initiale mais on note la présence de deux incisives jaunes de rongeur.
Une fois décortiquée, voici ce que nous y avons trouvé :
Des restes de campagnols ! Un festin pour la chouette !
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